Le tableau du "garçon qui pleure", le tableau maudit.

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

" « LE GARCON QUI PLEURE » : c’est un tableau peint dans les années 1950 par un espagnol, Bruno AMADIO (un de ses nombreux pseudonymes) qui représente un jeune garçon, au visage d’une grande tristesse, dont les larmes coulent abondamment sur les joues. C’est en 1985 que commence la légence : un couple d’anglais venait d’en faire l’acquisition. Or, à peine le tableau ramené à la maison et accroché, un incendie d’origine inexpliquée se déclare, réduisant en cendres le logement. Chose étrange, les pompiers retrouveront , accroché à ce qu’il reste du mur de la cuisine, le tableau en question, absolument intact. Ce qui est encore plus étrange c’est que des incendies similaires se seraient produits dans d’autres régions de Grande-Bretagne, et avec toujours le même tableau (il faut préciser qu’il a circulé jusqu’à 50.000 copies du « LE GARCON QUI PLEURE ».

Une véritable psychose s’est alors répandue dans tout le pays à la suite de ces révélations. D’où l’intérêt de connaître les origines de ce portrait. Ce qu’on sait, c’est que le peintre espagnol a pris pour modèle un jeune orphelin des rues, toujours triste, s’appelant DON BONILLO. Il aurait vu mourir ses parents dans un terrible incendie. Selon certains, on le fuyait comme s’il était le démon, car des incendies se déclaraient en sa présence.

Parmi les nombreux témoignages qui ont afflué on sait par exemple qu’un pompier avait accroché une copie de ce tableau au mur de sa caserne. Le jour même la cuisine du bâtiment fut la proie des flammes et réduite en cendres. Et comme toujours, le tableau était retrouvé intact.

Une femme du nom de Dora MANN raconte que, 6 mois après avoir acheté cette peinture, sa maison a été complètement ravagée par un incendie. Tous ses tableaux ont été détruits, sauf un : « LE GARCON QUI PLEURE ».
On a dénombré une centaine de cas similaires, et il ne faut pas oublier de souligner ceci : lorsqu’il a terminé le tableau, le peintre a vu son atelier entièrement détruit par le feu, dans des conditions plutôt mystérieuses.

Devant l’inquiétude de cette malédiction, « The Sun » proposa à tous les propriétaires d’un tableau similaire de venir les apporter au siège de la rédaction afin de les brûler joyeusement.

Toutefois, même après cette action spectaculaire, d’autres incendies du même type furent rapportés 3 ans plus tard, en 1988.

Simple coïncidence diront les plus sceptiques. Cependant, on ne nier que la résurgence de cette légende lui apporte une certaine crédibilité effrayante… "

(source : http://www.neotrouve.com/?p=5764)

 

voir l'histoire du tableau: http://www.dark-stories.com/maledictionl/la-malediction-du-tableau-du-garcon-qui-pleure.html

Ces tableaux maudits du "garçon qui pleure" trainent une malédiction et une malchance démoniaque à tous ses propriétaires, car un tableau comme ça posé contre un mur pollue une maison par rémanence, diffuse un mal être qui s'attaque à l'être humain.
Je vous conseil d'aller voir le témoignage troublant de mon amie sur le site "possession et damnation", voir le lien   ;  http://possession-et-damnation.fr/home/le-tableau-du-garcon-qui-pleure/ 

Ce tableau là, vibre en capital chance négatif à (moins-1,1/3. (voir mon biomètre de chance). Il a donc une fréquence négative et néfaste importante.

photo du site http://www.neotrouve.com/?p=5764

photo du site http://www.neotrouve.com/?p=5764